Nous partons du bord de la mer vers 9h15. Le temps est clément. Passons devant ce calvaire qui a eu quelques problèmes. Sûrement une foudre quelconque !
Et nous sommes rapidement à Rumengol et son pardon.
Et nous sommes rapidement à Rumengol et son pardon.
Ensuite chemin roulant et sans âme qui vive. Pas d'abri particulier et nous finissons par déjeuner assis sur la route. Une seule voiture passera devant nous. On remarche et nous voilà dans les bois sur une allée forestière sans fin et toujours des ruisseaux partout d'où des montées et descentes. Un raccourci fermé (par qui et pourquoi ?) on franchi le talus puis un barbelé et nous voilà devant le lycée agricole Nivot.
Puis une dernière chapelle, Saint Sébastien, avant une arrivée cahotique à Brasparts.
Nous ne sommes pas encore arrivés, une rivière à franchir avant être de l'autre côté sur la colline par un chemin boueux et découvrir l'église de Brasparts, mais ne nous y attardons pas.
Nous avons une seule hâte c'est de trouver la Maison du randonneur. Nous y parvenons presque en même temps que le propriétaire. Un homme sympathique qui nous montre notre chambre de 12 couchages dont 2 lits doubles superposés ! On prend celui du bas. Pas le temps de s'installer et il nous propose une ou 2 bolées de cidre pour nous remettre de nos émotions, on s'installe ensuite et tout cela nous rappelle le Camino. La douche est fraîche mais tant pis. C'est lui qui a tout construit. À 19h30 dîner, c'est lui aussi qui fait. Délicieux et copieux, soupe de légumes du jardin et un plat typiquement breton :
Le KIG HAR FARZ
C'est très très bon, tout cela arrosé d'un excellent Cahors. Et une tarte aux pommes pour la fin. Merci beaucoup Gabriel Marc.
Nous sommes les seuls clients et nous gardons le gîte pour la nuit.
vous montez à Saint-Michel de Brasparts ? vue magnifique mais côte rude...
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