Nous quittons nos hôtesses après un excellent petit déjeuner. Il est 9h30 quand nous partons. A peine 50m franchis, la pluie. Vite on s'abrite sous une arche du chemin de fer et on enfile nos capes de pluie. Comme il a fallu faire vite on n'a pas pensé à enlever notre polaire ! On fini par avoir trop chaud ; 3km plus loin un hangar ouvert sous lequel s'abriter. On demande la permission d'entrer. Accordée. C'est l'atelier de maintenance de l'usine en face. Cela n'a pas arrêté la pluie. Imperturbables mais râlants nous continuons à suivre la rive droite du Jaudy. Jusqu'au confluent avec le Leff pour repasser sous la voie de chemin de fer 100m plus loin.
L'étape qui vient nous faisait un peu peur avec ses 29km jusqu'à Beauport seulement. Alors on a décidé d'utiliser le maximum de raccourcis. Bien nous en a pris car, non seulement le début de l'étape à été sportif et risqué mais en plus nous a valu une bien belle rencontre. Nous commencions à peiner au moment du casse-croûte., nous venions de remonter sur le plateau. Nous arrivons près d'un ensemble de beaux bâtiments et je vois ce qui pourrait nous servir d'abri. Les chiens aboient et nous nous apprêtons à repartir quand un homme sort dans sa cour je lui fait signe, il finit par nous apercevoir et je lui explique notre souhait. Eh bien figurez vous que nous avons passé un moment bien sympa avec lui dans sa grande pièce tout en avalant nos sandwichs arrosés d'eau citronnée et terminant par un très bon café maison. Tout cela en discutant de tout. Merci Dominique Letexier de Kerbleust, merci.
Curieuses ces 2 petites cabanes entre Leff et falaise.
Juste après, cet ancien moulin
Puis, 100m après ce moulin de Guezennec un incident sans gravité.
L'étape qui vient nous faisait un peu peur avec ses 29km jusqu'à Beauport seulement. Alors on a décidé d'utiliser le maximum de raccourcis. Bien nous en a pris car, non seulement le début de l'étape à été sportif et risqué mais en plus nous a valu une bien belle rencontre. Nous commencions à peiner au moment du casse-croûte., nous venions de remonter sur le plateau. Nous arrivons près d'un ensemble de beaux bâtiments et je vois ce qui pourrait nous servir d'abri. Les chiens aboient et nous nous apprêtons à repartir quand un homme sort dans sa cour je lui fait signe, il finit par nous apercevoir et je lui explique notre souhait. Eh bien figurez vous que nous avons passé un moment bien sympa avec lui dans sa grande pièce tout en avalant nos sandwichs arrosés d'eau citronnée et terminant par un très bon café maison. Tout cela en discutant de tout. Merci Dominique Letexier de Kerbleust, merci.
Curieuses ces 2 petites cabanes entre Leff et falaise.
Nous devons quitter les rives du Leff et monter sur le plateau en partant à gauche à angle droit. Zouzou me devance d'un mètre, le chemin est humide et la voilà les 4 fers en l'air dans les orties. Et ça pique, même au travers du pantalon ! Remise debout et n'y tenant plus elle sort de son sac un produit apaisant (onctose) et, en pleine nature sans craindre des regards indiscrets, je lui en tartine sur les 2 fesses bien atteintes, croyez moi ! Le soulagement a été presque instantané. Puis 1km et quelques de montée dans les bois dans un chemin étroit, caillouteux, boueux, à moitié ruisseau, dans la forêt et nous avons fait fuir 3 jeunes chevreuils ! Le reste sans grand intérêt jusqu'à Paimpol. Ah si, en traversant Kerfot,
un bar ouvert, on n'a pas pu s'empêcher d'y prendre un café pour absorber les 5km restants et trouver une chambre d'hôtes très accueillante, toute proche de la vieille tour de Paimpol.
Alors-là maman déçue ! Vous n'avez pas emporté le gel d aloès le docteur en pot !Ca soigne et les ampoules et les piqûres d'orties entre autres !
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