Que dire ?
Le château de Cambriaire, très belle bâtisse du 13e siècle est à vendre. Nous étions dans l'aile gauche aménagée en appartement : salle de séjour, cuisine , deux chambres et toilettes séparées. Mais il ne font pas table d'hôtes, il faut descendre 50m plus bas dans un restaurant qui fût excellent, nous nous sommes régalés en compagnie de Jacques un vieux garçon ayant des soucis qui ne sont pas physiques puisqu'il arrive comme nous du Puy-en-Velay.
Le château, à flanc de montagne domine le village. Encore vivants 3 cèdres gigantesques et un sequoia qui ne l'est pas moins signalent sa présence. Après quelques centaines de mètres nous quittons un ruisseau, le Sauvaire.
Le château, à flanc de montagne domine le village. Encore vivants 3 cèdres gigantesques et un sequoia qui ne l'est pas moins signalent sa présence. Après quelques centaines de mètres nous quittons un ruisseau, le Sauvaire.
En se retournant vue sur le village que nous venons de quitter
Curieux champignon poussant sur un tronc d'arbres. Girolles ? Oronge ?
Non seulement ça monte mais c'est caillouteux.
Mais aussi rocheux
En tout cas bien longue pour arriver au col St. Pierre. Et avant de descendre on découvre que nous changeons de département grâce à cette vieille borne toujours debout
La végétation a bien changé en passant le col. Robinier, chêne américain, genevriers. Les arbres sont plus petits, les buissons plus nombreux, l'atmosphère plus sèche et le temps toujours aussi beau pour admirer ce paysage montagneux.
Nous avons été étonnés par ce magnifique buisson de bruyère.
Et par ces grappes de baies de genièvre.
Et ça descend pour atteindre une autre rivière, le Gardon, et découvrir les belles maisons de ce hameau.
Dernière étape et les km semblent plus long. On aurait tendance à trouver des raccourcis. C'est à ce moment qu'il faut faire un choix : suivre le GR ou la route ? On opte pour la route quand on réalise passer devant le restaurant la Corniche des Cévennes. Il est 13h alors on décide de déjeuner là. Très reposant et on y privilégie les cèpes. Le patron nous explique qu'il y a la même distance par la route ou le GR70. Après l'addition on emprunte donc le GR70 plus sûr pour arriver à ce pont et enfin atterrir à Saint-Jean-du-Gard.
À bientôt pour vous parler de ce village.
Demain la Malle postale nous amène au Puy et de là récupérons la voiture pour être le soir à la maison.
Dodo
Les ponts sont toujours beaux. Le champignon vue la couleur me semble vénéneux. Il me semble que Mam l a mise sur Facebook la photo de la bruyère. Fin.
RépondreSupprimerLe temps passe vite ! déjà rentrés. Vous nous raconterez
RépondreSupprimerCathy & henri