Revenons sur hier soir pour vous dire que nous avons très bien dîné dans un restaurant nommé "Les Artistes" et que nous recommandons si vous passiez par là un jour.
Ce matin 9 juin, au petit déjeuner la pluie s'annonce. On craint le pire et il survient. Nous quittons St. Méen équipés de nos ponchos. Des trombes d'eau pendant 1/4h mais si ça se réduit ça ne s'arrête pas. Les chemins sont détrempés, les chaussures aussi et les pantalons jusqu'aux genoux. Il faut avancer. Avant de traverser une vallée on frappe à la porte d'une ferme pour leur demander si on peut s'abriter sous un des hangars pour respirer ! Autorisation accordée comme vous pouvez le constater.
Un arrêt qui a fait du bien et repartons plein d'entrain. Le chemin qui descend est très humide les ornières dans la cuvette sont pleines d'eau et on arrive à la rivière qu'il faut traverser sur une passerelle que nous ne finissons par apercevoir mais impossible à atteindre, que ce soit par le chemin où les champs à droite ou à gauche.
Ce matin 9 juin, au petit déjeuner la pluie s'annonce. On craint le pire et il survient. Nous quittons St. Méen équipés de nos ponchos. Des trombes d'eau pendant 1/4h mais si ça se réduit ça ne s'arrête pas. Les chemins sont détrempés, les chaussures aussi et les pantalons jusqu'aux genoux. Il faut avancer. Avant de traverser une vallée on frappe à la porte d'une ferme pour leur demander si on peut s'abriter sous un des hangars pour respirer ! Autorisation accordée comme vous pouvez le constater.
On apprendra un peu plus tard qu'il était tombé des trombes la veille. Il ne nous restait plus qu'à faire demi-tour. Nous qui voulions éviter le goudron on va encore être servi. Direction Gaël où nous trouvons un bar rescapé. On s'y désaltére en dégustant la tarte aux poireaux que Zouzou a achetée à St. Méen, un bon café complète le "repas" ! Et nous voilà repartis en apprenant que la propriétaire allait fermer ! La désertification progresse, quelle tristesse ! Quand est-ce que l'on va mettre tous les ministères à la campagne ? Avec tous les trucs connectés ça ne devrait pas poser de problème, n'est-ce pas ?
Bref on emprunte la D773 presque jusqu'au bout et en cours de route une belle surprise la chapelle de la Louya.
Finalement nous arrivons à Concoret par un itinéraire imprévu moins mal aux pieds qu'hier, plus mouillés c'est sûr contents évidemment après 22km430 (4 de plus que prévu) vers 16h15. Remise en état, début blog, dîner à l'Escalibor très campagne et très sympa.
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